Télépuce

Pourquoi ce site ?

Au temps où la grande majorité des cartes était encore constituée de pyjamas, cordons et 600 agences, Gérard Pons, Martine Gracias et moi avons été collectionneurs de la première heure et encore plus à l’arrivée des cartes illustrées. Cette passion nous a amené à créer Télépuce, le premier mensuel sur la collection de télécartes en 1989.

J’étais à l’époque informaticien spécialisé dans les cartes à puce puis j’ai pratiqué la vente d’objets de collections. Je disposais alors d’une collection publiques / internes / privées quasi complète dont je me suis séparé et en septembre 1994, j’ai pris un chemin professionnel très différent pour laisser derrière moi le monde de la collection et des télécartes.

Certaines cartes très rares que j’avais gardées ont disparu dans un cambriolage dont les voleurs ignoraient sans doute la valeur.

En juin 2025, par  un concours de circonstances, j’ai cherché des informations sur la télécarte et j’ai découvert, à ma grande surprise, que la collection était encore très active. Certains férus du grand temps de la collection sont toujours actifs, rejoints par des nouveaux adeptes. Je pensais jusqu’alors, que la collection s’était éteinte…

Si la référence absolue est depuis longtemps le catalogue Phonecote, qui s’est imposé pour les achats et échanges, compte tenu de sa longévité et de son degré de détails, beaucoup n’ont pas connu ou oublié Télépuce qui a pourtant été pionnier de la collection.

Télépuce a été diffusé exclusivement sur abonnement, de décembre 1989 jusqu’en janvier 1992, soit 24 numéros + 2 hors-série, uniquement consacrés aux télécartes.

L’engouement que j’ai trouvé chez les collectionneurs actuels m’a donné envie de remettre en lumière Télépuce en racontant son histoire et même de faire une « restauration numérique » des numéros édités.

Ce site contribuera peut-être à redynamiser la collection. Le vintage est en vogue, les disques vinyles par exemple sont maintenant très recherchés et il n’est pas impossible que les télécartes reviennent sur le devant de la scène car je constate qu’il y a toujours beaucoup d’amateurs sur les brocantes…

Michel Mercier

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